L’ISO (International Organisation for Standardisation) à développé un modèle de référence OSI (Open Systems Interconnection) . Ce ...
L’ISO (International Organisation for Standardisation) à développé un modèle de référence OSI (Open Systems Interconnection). Ce modèle a pour but d’aider les fournisseurs à créer des réseaux informatiques compatibles entre eux.
Le modèle OSI est constitué d’un ensemble de 7 couches de protocoles. Chaque couche n’agit qu’avec ses voisines immédiates.
C’est l’endroit où les adresses des cartes réseau (adresses MAC) deviennent importantes. La couche 2 se charge en outre de reconditionner les paquets dans des cadres (frames), qui correspondent au format de transmission des données par les équipements matériels opérant aux niveaux inférieurs à la couche 3.
Le modèle OSI est constitué d’un ensemble de 7 couches de protocoles. Chaque couche n’agit qu’avec ses voisines immédiates.
Les 7 couches du modèle OSI
La couche application
Cette couche concerne les applications, comme l’accès aux fichiers et le transfert de fichiers. Si vous avez déjà utilisé des applications telles que FTP ou Telnet, vous avez travaillé avec un exemple de couche 7. Dans le modèle postal, cette couche peut s’assimiler à l’écriture de la lettre. C’est à ce niveau qu’opèrent les applications (traitement de texte, tableur, etc.).La couche présentation
Cette couche concerne la façon dont les systèmes différents représentent les données informatiques. Par exemple, elle définit ce qui se passe lorsqu’on essaie d’afficher des données provenant d’Unix sur un écran MS-DOS.La couche session
Cette couche gère les connexions courantes entre systèmes. Elle tient compte de l’ordre des paquets de données et des communications bidirectionnelles. Dans la métaphore postale, elle aurait pour équivalent la division d’un gros document en parties plus petites, leur mise sous plis et leur affranchissement dans l’ordre où les enveloppes devront être ouvertes pour reconstituer l’ensemble. C’est à cet endroit que les flux de données sont transformés en paquets.La couche transport
Cette couche est l’équivalent du système de courrier recommandé. Elle s’assure que le courrier est bien remis à son destinataire. Si un paquet n’atteint pas sa destination, elle gère le processus consistant à prévenir l’expéditeur et à solliciter l’émission d’un autre exemplaire. En fait, elle s’assure que les trois couches situées au-dessous d’elle (c’est-à-dire les couches 1.2.3) font leur travail correctement. A défaut, le logiciel de la couche 4 peut intervenir et gérer la correction des erreurs en renvoyant les paquets altérés ou manquants (les paquets altérés sont écartés, dropped).La couche réseau
Cette couche fournit un schéma d’adressage. Si vous envoyez une lettre à quelqu’un vous employer une adresse contenant un code postal, en conformité avec les normes des services postaux concernés. Lorsqu’un ordinateur émet un paquet de données, il l’envoie à une adresse logique, correspondant au numéro dans la rue pour le courrier conventionnel. C’est à ce niveau qu’opère la partir IP (Internet Protocol) de TCP/IP. Pour Novell, c’est ici que s’exécute le protocole IPX (Internetwork Packet eXchange).La couche liaison de données
Cette couche n’est pas physique au sens strict, contrairement à ce que l’on pourrait croire ? Il s’agit d’un ensemble de règles logicielles gravées dans les circuits mémoire des équipements (concentrateurs, cartes réseau, routeurs, etc.) qui stipulent comment le courrier doit être acheminé et distribué. C’est à cet endroit que sont stockées les règles de fonctionnement d’Ethernet, de Token Ring, de FDDI et d’ATM. Elle s’applique à trouver un chemin pour que la couche 1 puisse dialoguer avec la couche 3.C’est l’endroit où les adresses des cartes réseau (adresses MAC) deviennent importantes. La couche 2 se charge en outre de reconditionner les paquets dans des cadres (frames), qui correspondent au format de transmission des données par les équipements matériels opérant aux niveaux inférieurs à la couche 3.